En lisant l'article du Télégramme de ce dimanche, nous sommes choqués par les propos tenus.
Explication de texte :
Jacques LE NAY : personne inconnue de notre mouvement. En effet, malgré nos appels aux élus dans la presse, nous n'avons pas eu l'occasion d'échanger avec cette personne qui est restée étrangement muette jusqu'à ce jour.
Michel MORVANT : interpellé directement au titre de président de la CCPRM et du COB. Dans chacune de ces instances, une motion a été votée sur intervention d'une délégation des parents de l'école. Cette motion a été votée de la façon suivante : « Qui est contre ? Qui s'abstient ? Motion votée à l'unanimité. » « Et vous monsieur Morvant vous êtes POUR ? » réponse sèche « Motion votée à l'unanimité ! »
L'effectif de l'école était de 25 élèves inscrits en mairie à la rentrée dont un enfant de deux ans. Les parents attendent toujours une dérogation pour le faire rentrer en classe. La directrice a en effet reçu des consignes de l'inspection pour ne pas l'accepter sous le motif que la classe unique a un effectif trop important!!!!
Mercredi 8 octobre, une famille a emménagé dans le bourg et a inscrit ses quatre enfants dans notre école, qui se situe à moins de 100 mètres de leur lieu de résidence. Le temps de faire les dossiers officiels (certificats de radiation, inscription), les 3 ainés ont intégré l'école dès vendredi matin, le quatrième fera sa rentrée plus tard, la présence des gendarmes tous les matins devant l'entrée de l'école ne facilitant pas vraiment la sérénité des plus petits.
De quel droit préjuge-t-on de la pérennité de ces inscriptions ?
Par ailleurs, nous rappelons que nous réclamons depuis le début un traitement équivalent à celui d'autres écoles présentant les mêmes effectifs (cf. Ecole de St Tugdual)
Nous réclamons donc aujourd'hui que nos enfants soient traités dignement et que l'inspection cesse de souffler le chaud et le froid. M. COUTURAUD, inspecteur d'académie, se doit de donner l'exemple aux élèves en cessant de mentir. Il doit donc s'en tenir à ce qu'il a annoncé au maire ce vendredi 10 septembre : retour à la situation de la rentrée, 2 enseignantes à plein temps sur 2 classes.
Nous demandons que le dossier de cette école soit traité par des personnes ayant la compétence, la droiture et le courage nécessaire face à cette situation qui devient ubuesque.